Le monde du sport est en deuil après le tragique accident de voiture qui a coûté la vie au footballeur Diogo Jota et à son frère André Silva, survenu le 3 juillet 2025 sur l’autoroute A-52 en Espagne. Leur Lamborghini Huracan, victime d’un éclat de pneu à haute vitesse, a dérapé et pris feu, selon les autorités espagnoles. Cet événement a secoué la communauté sportive et suscité des réactions en chaîne, notamment de la part du champion cycliste Julian Alaphilippe.
Dans un geste audacieux, Alaphilippe a immédiatement mis en vente sa propre Lamborghini à un prix dérisoire, accompagnant son annonce d’un message percutant de 11 mots : « La sécurité avant tout, boycottons les Lamborghini, trop dangereuses. » Ce cri du cœur, publié sur ses réseaux sociaux, a rapidement enflammé la toile, attirant l’attention des fans et des médias. La décision d’Alaphilippe, motivée par des préoccupations sur la sécurité des véhicules de la marque, a trouvé un écho particulier auprès d’Islam Makhachev, champion de l’UFC. Ce dernier a publiquement soutenu l’initiative, renforçant l’appel au boycott. Les fans de Makhachev, nombreux sur les réseaux, ont amplifié le message, faisant de cette controverse un sujet brûlant.
Ce mouvement soulève des questions sur la fiabilité des voitures de luxe, notamment après des rappels antérieurs de Lamborghini pour des problèmes techniques. Alors que les enquêtes sur l’accident de Jota se poursuivent, des experts pointent également du doigt les conditions routières défectueuses de l’A-52, où un autre accident grave s’était produit huit jours plus tôt.
Ce drame et l’appel d’Alaphilippe pourraient marquer un tournant pour l’image de Lamborghini. Les amateurs de sport et d’automobile suivent de près cette affaire, partagés entre admiration pour le courage d’Alaphilippe et interrogations sur la sécurité des supercars. Que pensez-vous de ce boycott ? Partagez votre avis en commentaire !
