Le Grand Prix du Canada 2025, organisé le 15 juin à Montréal, devait être l’occasion pour Lewis Hamilton et Ferrari de briller sur un circuit mythique. Mais ce qui promettait une course prometteuse s’est transformé en cauchemar pour l’écurie italienne et son pilote vedette. Un incident inattendu et dévastateur a non seulement ruiné les chances de podium d’Hamilton, mais a également mis en lumière les défis auxquels Ferrari est confrontée cette saison. L’accident, impliquant une marmotte en piste, a laissé l’écurie sans réaction et a suscité un vif débat parmi les fans et les observateurs.

Dès le départ, Hamilton semblait en position de force. Qualifié cinquième sur la grille, il a égalé sa meilleure performance de la saison en qualifications, hormis sa pole position lors de la course sprint de Shanghai. Grâce à une stratégie audacieuse et à une Ferrari montrant des signes de compétitivité, le Britannique visait un premier podium depuis son arrivée chez la Scuderia en 2025. Mais au huitième tour, un événement improbable et tragique a perturbé la course. Une marmotte, errant sur le circuit Gilles-Villeneuve, a été percutée par la Ferrari d’Hamilton, causant d’importants dégâts au fond plat de la voiture. Selon Frédéric Vasseur, directeur de l’équipe, l’impact a entraîné une perte d’environ 20 points d’appui aérodynamique, compromettant gravement les performances de la voiture.
L’incident, rapporté par plusieurs médias, dont Motorsport.com, a laissé Hamilton désemparé. Dans une interview accordée à Sky Sports, le septuple champion du monde a exprimé sa détresse : « Je ne l’ai pas vu venir. J’ai ressenti un choc, mais je ne savais pas ce que c’était. Quand ils m’ont dit que c’était une marmotte, j’étais dévasté. J’aime les animaux, et ça fait mal. » Cette réaction sensible a touché de nombreux fans, même si certains commentateurs, notamment sur Canal+, se sont moqués de son émotion. Pourtant, l’accident n’a pas seulement affecté Hamilton personnellement. Les dégâts lui ont coûté environ une demi-seconde par tour, le reléguant à la sixième place à l’arrivée, loin derrière les leaders.

Ferrari, déjà sous pression après une saison 2025 décevante, n’a pas su réagir efficacement. Vasseur a tenté de minimiser l’incident avec humour : « On va offrir des fleurs à la marmotte. » Mais cette légèreté n’a pas masqué les faiblesses de l’équipe. La SF-25, critiquée pour ses problèmes de garde au sol et son manque de compétitivité, n’a décroché que trois podiums cette saison, tous attribués à Charles Leclerc. Hamilton, pour sa part, a admis que la voiture n’était « pas là où elle devrait être » et a appelé à des changements urgents, dont une mise à jour prévue avant le Grand Prix de Grande-Bretagne.
L’accident a également ravivé les spéculations sur l’avenir d’Hamilton chez Ferrari. Selon Auto Racer, l’écurie envisagerait d’interrompre le développement de la SF-25 fin juin pour se concentrer sur la voiture de 2026, une décision influencée par le Britannique. Cette stratégie, bien qu’anticipation, risque de frustrer Leclerc, qui a récemment déclaré qu’il était « trop tôt pour abandonner la saison ». Avec un retard de près de 200 points sur McLaren au championnat des constructeurs, Ferrari semble déjà résignée à une année de transition.
Le Grand Prix du Canada a également mis en lumière des problèmes structurels au sein de l’équipe. Hamilton a pointé du doigt une stratégie d’arrêt maladroite, qui l’a coincé dans le trafic, ainsi que des problèmes de freins qui ont compliqué sa course. Ces erreurs d’exécution, combinées à l’incident de la marmotte, ont amplifié le sentiment d’impuissance de l’équipe. Comme l’a souligné Vasseur, « il faut se concentrer sur ce que l’on obtient de la voiture, plutôt que sur son potentiel brut. »
Cet épisode, bien que marqué par un incident inhabituel, reflète la lutte de Ferrari pour retrouver sa gloire d’antan. Pour Hamilton, qui rêvait de redonner à la Scuderia sa gloire passée, le chemin à parcourir s’avère plus difficile que prévu. À l’approche des prochaines courses, l’équipe devra non seulement panser ses plaies, mais aussi prouver qu’elle peut traduire ses ambitions en résultats concrets. La collision avec la marmotte, aussi anodine soit-elle, restera un symbole des imprévus qui jalonnent la saison 2025 de Ferrari.
Le Grand Prix du Canada 2025, organisé le 15 juin à Montréal, devait être l’occasion pour Lewis Hamilton et Ferrari de briller sur un circuit mythique. Mais ce qui promettait une course prometteuse s’est transformé en cauchemar pour l’écurie italienne et son pilote vedette. Un incident inattendu et dévastateur a non seulement ruiné les chances de podium d’Hamilton, mais a également mis en lumière les défis auxquels Ferrari est confrontée cette saison. L’accident, impliquant une marmotte en piste, a laissé l’écurie sans réaction et a suscité un vif débat parmi les fans et les observateurs.

Dès le départ, Hamilton semblait en position de force. Qualifié cinquième sur la grille, il a égalé sa meilleure performance de la saison en qualifications, hormis sa pole position lors de la course sprint de Shanghai. Grâce à une stratégie audacieuse et à une Ferrari montrant des signes de compétitivité, le Britannique visait un premier podium depuis son arrivée chez la Scuderia en 2025. Mais au huitième tour, un événement improbable et tragique a perturbé la course. Une marmotte, errant sur le circuit Gilles-Villeneuve, a été percutée par la Ferrari d’Hamilton, causant d’importants dégâts au fond plat de la voiture. Selon Frédéric Vasseur, directeur de l’équipe, l’impact a entraîné une perte d’environ 20 points d’appui aérodynamique, compromettant gravement les performances de la voiture.
L’incident, rapporté par plusieurs médias, dont Motorsport.com, a laissé Hamilton désemparé. Dans une interview accordée à Sky Sports, le septuple champion du monde a exprimé sa détresse : « Je ne l’ai pas vu venir. J’ai ressenti un choc, mais je ne savais pas ce que c’était. Quand ils m’ont dit que c’était une marmotte, j’étais dévasté. J’aime les animaux, et ça fait mal. » Cette réaction sensible a touché de nombreux fans, même si certains commentateurs, notamment sur Canal+, se sont moqués de son émotion. Pourtant, l’accident n’a pas seulement affecté Hamilton personnellement. Les dégâts lui ont coûté environ une demi-seconde par tour, le reléguant à la sixième place à l’arrivée, loin derrière les leaders.

Ferrari, déjà sous pression après une saison 2025 décevante, n’a pas su réagir efficacement. Vasseur a tenté de minimiser l’incident avec humour : « On va offrir des fleurs à la marmotte. » Mais cette légèreté n’a pas masqué les faiblesses de l’équipe. La SF-25, critiquée pour ses problèmes de garde au sol et son manque de compétitivité, n’a décroché que trois podiums cette saison, tous attribués à Charles Leclerc. Hamilton, pour sa part, a admis que la voiture n’était « pas là où elle devrait être » et a appelé à des changements urgents, dont une mise à jour prévue avant le Grand Prix de Grande-Bretagne.
L’accident a également ravivé les spéculations sur l’avenir d’Hamilton chez Ferrari. Selon Auto Racer, l’écurie envisagerait d’interrompre le développement de la SF-25 fin juin pour se concentrer sur la voiture de 2026, une décision influencée par le Britannique. Cette stratégie, bien qu’anticipation, risque de frustrer Leclerc, qui a récemment déclaré qu’il était « trop tôt pour abandonner la saison ». Avec un retard de près de 200 points sur McLaren au championnat des constructeurs, Ferrari semble déjà résignée à une année de transition.
Le Grand Prix du Canada a également mis en lumière des problèmes structurels au sein de l’équipe. Hamilton a pointé du doigt une stratégie d’arrêt maladroite, qui l’a coincé dans le trafic, ainsi que des problèmes de freins qui ont compliqué sa course. Ces erreurs d’exécution, combinées à l’incident de la marmotte, ont amplifié le sentiment d’impuissance de l’équipe. Comme l’a souligné Vasseur, « il faut se concentrer sur ce que l’on obtient de la voiture, plutôt que sur son potentiel brut. »
Cet épisode, bien que marqué par un incident inhabituel, reflète la lutte de Ferrari pour retrouver sa gloire d’antan. Pour Hamilton, qui rêvait de redonner à la Scuderia sa gloire passée, le chemin à parcourir s’avère plus difficile que prévu. À l’approche des prochaines courses, l’équipe devra non seulement panser ses plaies, mais aussi prouver qu’elle peut traduire ses ambitions en résultats concrets. La collision avec la marmotte, aussi anodine soit-elle, restera un symbole des imprévus qui jalonnent la saison 2025 de Ferrari.