Elon Musk, PDG visionnaire de SpaceX et Tesla, a surpris le monde avec une annonce révolutionnaire : un investissement de 30 milliards de dollars pour la construction d’un « Super Tunnel » qui réduira le temps de trajet entre New York et Londres à seulement 118 minutes. Cet ambitieux projet d’infrastructure, baptisé HyperLink, vise à révolutionner les voyages intercontinentaux et à remodeler l’avenir de la connectivité mondiale.
Le Super Tunnel HyperLink utilisera la technologie de sustentation magnétique maglev de nouvelle génération, combinée à des tubes à vide basse pression – une évolution du concept Hyperloop de Musk. Les passagers embarqueront à bord de capsules aérodynamiques et élégantes pouvant atteindre 6 800 km/h (environ Mach 5,5) dans un environnement proche du vide. En minimisant la résistance de l’air, le système promet des trajets fluides et économes en énergie entre les deux capitales financières mondiales.
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Itinéraire et structure : Le tunnel de 5 550 km (3 450 miles) commencera sous Manhattan, traversera le fond marin de l’Atlantique Nord et émergera au sud de Londres.
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Technologie de tube à vide : en réduisant la pression de l’air à un niveau proche du vide, les pods sont confrontés à une traînée minimale, permettant des vitesses record.
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Propulsion Maglev : des moteurs à induction linéaire propulseront les nacelles le long de rails supraconducteurs, garantissant un déplacement silencieux et sans frottement.
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Systèmes de sécurité : des joints à pression multiples, une détection automatique des fuites et des capsules d’évacuation d’urgence garantiront la sécurité des passagers.
Ce mélange de tubes à vide et de sustentation magnétique marque un bond en avant significatif par rapport au train à grande vitesse traditionnel et même aux phases de test du vol suborbital.
Le super tunnel HyperLink devrait générer plus de 200 000 emplois durant sa phase de construction de huit ans et contribuer à hauteur de plus de 150 milliards de dollars à l’économie mondiale. En transférant un volume important de passagers long-courriers des compagnies aériennes vers des tunnels électriques, le projet pourrait réduire les émissions de carbone d’environ 30 millions de tonnes par an, s’inscrivant ainsi dans la lutte mondiale contre le changement climatique.
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2025–2027 : Finaliser les études d’impact environnemental et obtenir les approbations réglementaires internationales.
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2028 : Début des forages et des tunnels en mer sous les fonds marins de l’Atlantique.
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2032 : Achèvement de l’infrastructure du tunnel et réalisation des premiers tests de modules sans pilote.
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2034 : Lancement du service commercial, proposant des départs toutes les 20 minutes.
Malgré l’enthousiasme suscité, le projet se heurte à des défis techniques, notamment la gestion de la pression sous-marine, les cadres juridiques transnationaux et la création de tunneliers ultra-grands. Pourtant, l’expérience d’Elon Musk avec les fusées SpaceX et les Gigafactories de Tesla laisse penser qu’il pourrait bien surmonter ces obstacles.
Les gouvernements des États-Unis et du Royaume-Uni ont apporté un soutien préliminaire, évoquant un potentiel coup de pouce au tourisme, à la finance et au commerce international. Les grandes compagnies aériennes ont toutefois exprimé leur inquiétude quant à d’éventuelles pertes de revenus. Parallèlement, les associations environnementales se montrent prudemment optimistes, dans l’attente d’études d’impact détaillées.
Le projet de Super Tunnel d’Elon Musk, doté de 30 milliards de dollars, représente un changement de paradigme dans le transport à grande vitesse. En promettant un trajet New York-Londres en seulement 118 minutes, le projet HyperLink pourrait redéfinir les relations économiques, culturelles et diplomatiques des deux côtés de l’Atlantique. Alors que le monde entier observe ce projet audacieux prendre forme, une chose est sûre : l’avenir des voyages intercontinentaux ne sera plus jamais le même.